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3 décembre 2009
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20:35
Ils ont encore plus de valeur symbolique quand ils sont fait "maison".
Meriem attendait sa soeur ce soir du 8 novembre. Elle a cueilli des fleurs dans le quartier et acheté des boutons de tiare tahiti (fleur typiquement tahitienne qui est parfumée comme nulle autre fleur au monde !).
Elle est venue à la maison pour que nous confectionnions des couronnes (colliers) pour l'arrivée de sa soeur.
Un peu de bolduc (vous savez la ficelle colorée qui entoure les papiers cadeaux, ici, c'est devenu la base incontournable de tous les colliers et couronnes), une aiguille chacune et c'est parti pour la création artistique.
Meriem commence peu convaincue, puis elle se laisse prendre au jeu.
Pour ma part, j'ai fini par réussir à apprivoiser mon aiguille et j'ai pu faire mes deux colliers, un en couleurs et l'autre tout en tiare tahiti (pour le parfum).
Résultat : deux femmes contentes et fières de leur travail !
Bienvenue Hasnia !!!
Meriem attendait sa soeur ce soir du 8 novembre. Elle a cueilli des fleurs dans le quartier et acheté des boutons de tiare tahiti (fleur typiquement tahitienne qui est parfumée comme nulle autre fleur au monde !).
Elle est venue à la maison pour que nous confectionnions des couronnes (colliers) pour l'arrivée de sa soeur.
Un peu de bolduc (vous savez la ficelle colorée qui entoure les papiers cadeaux, ici, c'est devenu la base incontournable de tous les colliers et couronnes), une aiguille chacune et c'est parti pour la création artistique.
Meriem commence peu convaincue, puis elle se laisse prendre au jeu.
Pour ma part, j'ai fini par réussir à apprivoiser mon aiguille et j'ai pu faire mes deux colliers, un en couleurs et l'autre tout en tiare tahiti (pour le parfum).Résultat : deux femmes contentes et fières de leur travail !Bienvenue Hasnia !!! Partager cet article
Je me la suis accrochée à l'oreille gauche, parce que mon coeur est pris. Si je cherchais un prétendant, je l'aurais mise sur l'autre oreille ...
Et nous sommes partis d'un bon pas.
Arrivés au spot, il n'y avait pas de couleurs du coucher de soleil, quelques vagues mousseuses, quelques rares surfeurs, mais un grand plaisir d'être assis dans le sable si douillet au bord de l'océan...
Quand elle était jeune (c'était il y a fort longtemps), la mode était aux chapeaux. Et bien sûr, il
Je suis allée avec Tayfun chez ma voisine Poema, j'ai choisi la branche de cocotier qui me plaisait, et j'ai demandé à Tayfun de la couper afin de tresser des chapeaux.
J'ai quand même demandé à Poema la permission de tailler les branches du bas de ses arbres.
Par contre j'ai pas gazé pour la taille du tour de tête, ils sont un peu trop étroits...
et surtout j'espère que mon z'hom ne se moquera plus de mon travail !!!
Pas besoin d'un appareil photo aquatique, l'eau est si claire que toutes les images sous marine sont visibles de l'extérieur.
Dans le ciel, les bleus se confondent avec ceux de l'océan et du lagon...
Les rivages se reflètent comme dans un miroir.
Et sous la flèche, vous pouvez apercevoir un petit morceau de notre "sweet home tahitien"... A 30 pas du lagon (je les ai comptés).
côté montagne, le paysage est renversant !
Et dans notre jardin, les branches du ylang-ylang s'offrent à nous. 
Presque chaque jour, j'en cueille au moins une fleur et me l'accroche à l'oreille.
et une gentille jeune fille en nous voyant nous prendre mutuellement en photos nous a proposé de nous prendre ensemble, sympa !
Juste avant la maison, le ciel était encore rougeoyant, nous nous sommes arrêtés au spot de surf du Taaruhu pour nous confondre dans l'océan tels que toutes ces couleurs.
Quand nous arrivons Framboise est avec sa propriétaire dans le bassin d'agrément en train de ranger des pierres...
J'ai dit souriantes !
Pour nous, il est l'heure de rentrer sur Papara.
La spécialité des Australes, c'est entre autre le tressage du pandanus (et tous autres végétaux), la confection de tifaifai et de patchworks colorés et des plus complexes, toujours superbes, la sculpture d'ustensiles sur bois, pierre ou os.
Les îles, plus au sud, donc mieux tempérées sont également plus propice à la culture maraichère et fruitière.
La population y est très soudée et les gens sont extraordinairement sympathiques, chaleureux, ce qui peut paraître un paradoxe quand on connaît déjà les Polynésiens des îles de la Société qui nous épatent tous les jours par leur joie de vivre et leur gentillesse...
Mon petit coup de coeur va à l'île de Rapa que je ne connais pas plus que les autres, mais lors du Heiva (festivités de l'été), une troupe de danseurs de Rapa, les Tamariki Oparo m'a totalement subjuguée !