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1 février 2010
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07:11
L'annexe va nous permettre de traverser la passe pour accéder aux plages du motu d'en face.
La passe est toujours aussi mouvementée.
Le Maratea reste à l'ancre et semble s'éloigner de l'annexe.
Cette fois-ci, c'est bien une plage de sable blanc (du vrai).
Le Capitaine admire et prend des images de son bateau au mouillage.
Pendant ce temps Nat' va se "rafraîchir".
La passe n'est pas si petite que ça, elle permet même aux gros cargos de rentrer et ressortir du lagon.
- "Bon, on range tout et on va rentrer à bord."
On quitte le sable blanc,
pour revenir sur le Maratea II
Nathalie va amarrer l'annexe au bateau. Pour le faire, elle "se jette à l'eau"...
La passe est toujours aussi mouvementée.Le Maratea reste à l'ancre et semble s'éloigner de l'annexe.Cette fois-ci, c'est bien une plage de sable blanc (du vrai).Le Capitaine admire et prend des images de son bateau au mouillage.Pendant ce temps Nat' va se "rafraîchir".La passe n'est pas si petite que ça, elle permet même aux gros cargos de rentrer et ressortir du lagon.- "Bon, on range tout et on va rentrer à bord."On quitte le sable blanc,pour revenir sur le Maratea IINathalie va amarrer l'annexe au bateau. Pour le faire, elle "se jette à l'eau"...Partager cet article
De bonne heure le lendemain matin, mercredi 23 décembre,
les 
Par contre, il y a toujours un revers à la médaille.
De plus, l'atmosphère est infesté de moustiques qui n'attendent qu'une chose : notre arrivée, pour nous dévorer !
Il paraît même qu'après 16h30, les nonos s'en mêlent...
La plage est magnifique, l'eau est bonne, le Maratea II a arrêté de gigoter (depuis que l'ancre est jetée dans le lagon).
Les cocotiers veulent monter aussi haut que les 
Les affreux poissons-pierre sont au fond de l'eau, là où on n'a pas pied.
Nous étions au pk18, plage tant fréquentée pour son sable blanc, surtout le dimanche.
Par exemple ce poisson-lézard qui faisait danser sa "crinière" au fil de l'eau...
Il semblait lui-même surpris de voir ce "drôle de zèbre"...
Décidément ! C'est le jour! Voici un autre spécimen du même genre ! (en fait, c'est celui qui était dans le trou...)
Mais en regardant tous ces poissons, on ne regarde pas où on met les pieds...
Aussi, un monsieur tahitien a dit à Tayfun de reculer et de faire attention où il marchait.
Mais oui, regardez bien...
On devine son contour dessiné sous le sable...
Oui ! Là, la tache rouge ! Vous l'avez vu ?
Bon on ne va pas le laisser traîner là. VLAN ! Un grand coup sec, et c'est fini !
C'est lui ! Le poisson-pierre à redouter quand on marche pieds nus dans les lagons.
En général, il s'installe là où il y a beacoup de ... pierres. Mais ici, c'est dans le sable (au bord du banc rocheux) qu'il avait choisi de se cacher...
On dirait un animal venu d'un autre monde, ou un monstre remonté des abysses...
Mais l'embrocher sur une barre à mine ne suffit pas à le neutraliser.
Ses épines dorsales sont reliées à des glandes contenant un venin.
)
Vous avez vu cette face de monstre ?
Et la grosseur des épines ?
Et la quantité d'épines, on a toutes les chances de s'en prendre une (au moins)...
En plus, c'est un GROS poisson !
Mais ce brave homme a évité bien des désagrément aux futurs promeneurs...
Même vidé de son venin, il peut rester dangereux...
La plus grande concentration se regroupe autour de la passe.
Vous pouvez voir que les jeunes poissons ont même un pneu comme dans nos parcs et jardins publics...
Il est tellement spécial, qu'il va avoir droit à l'article suivant pour lui tout seul....
De loin, les eaux sont très agitées, 
en se rapprochant du rivage, il y a moins de mouvement,
et suivant l'heure...
... c'est le calme plat.
Les pagayeurs de ce va'a seront les seuls "humains" que nous rencontrerons (de loin) ici.
De l'autre côté, les rives de Raiatea...
Et au milieu du lagon, le quatre mâts (celui de Moorea) laisse ses passagers admirer 
On
